Moment De Tranquillité {Libre

Lorsque Nolan se réveilla ce matin-là, une envie soudaine d'aller au parc lui vint à l'esprit. Le jeune homme sortit de sa chambre, salua ses quelques amis, qui étaient venus le voir la veille, réveillés, qui se trouvaient sur le balcon et alla dans la cuisine. Un bon petit déjeuner allait se préparer dans cette cuisine blanche aux meubles rouges, qui offraient beaucoup d'espace. Il prit son bol dans le placard du haut puis elle engouffra son bras dans le réfrigérateur, où le jeune homme trouva le lait ainsi que son jus d'orange. Quand il fut assis, celui-ci remarqua des tartines aux chocolats posés sur la table ainsi que le chocolat en poudre. Un large sourire se dessina légèrement sur son visage, content que ses ses potes debout eurent la gentillesse de lui préparer ses tartines à pâte à tartiner. Où peut être avaient été ils trop gourmand sur la quantité et ne purent tout manger. Bizarrement, cela lui paraissait le plus logique, cependant, il ne se posa pas plus de question et entama son petit déjeuner. Par la suite, Nolan rangea son bol puis la cuisine qui se trouvait être en désordre. En remontant dans sa chambre, il se dit qu'il était peut-être temps d'y aller. Le brunet partit à toute vitesse dans la salle de bain, vêtement dans les bras. Une demi heure plus tard, il se retira de pièce, prenant bien soin de ne rien laisser traîner et rechangeant ce qui baladait. Après être retourner dans sa chambre pour faire son lit, le jeune homme descendit au rez de chaussé. L’heure était venu qu’il sorte.

Un petit vent léger s'engouffra dans le hall quand No' ouvrit la porte de celle-ci. Malgré ce vent, le jeune homme pouvait sentir la chaleur du soleil sur sa peau. Il portait une chemise mis longue de couleur blanche, un jean noir avec des converses blanches; ses cheveux court étaient mis long. Le jeune homme marcha jusqu'à sa voiture, mit le contacte puis partit en direction du parc qui était à une dizaine de minutes en voitures de chez lui. Le jeune homme trouva rapidement une place et gara sa voiture. Il marchait tranquillement, les mains dans les poches, ses lunettes de soleil sur le bout du nez. C'est alors qu'il arrivait près d'un bac à sable où jouaient quelques enfants. Quand il jeta un coup d'oeil sur sa gauche, Nolan remarqua une jeune mère assise sur le banc. Celle-ci tenait une sorte de livre dans ses mains. Il avança joyeusement vers la place libre, regardant de tous les côtés s’il ne reconnaîtrait pas une personne, mais c'était peine perdu.

Le soleil tapait de plus en plus fort et le vent se faisait quelque peu rare. Si Nolan restait planter là, il allait attraper une insolation ce qui n’arrangeraient pas ses affaires. Le jeune homme venait de s'asseoir sur le banc, ne s'aperçevant pas qu'il venait de "voler" cette place. C'est alors qu'une jeune femme brune passa devant lui. La suivant du regard, il s'aperçut très vite que la miss venait de faire tomber quelque chose par terre. Il se leva d'un bon et se "jeta" dessus. Par la suite, No' releva la tête et partit à la rencontre de la brunette. A peine était il sortit du parc de jeux qu’un petit garçon se mit à crier. Il venait de tomber du toboggan, pourtant, aucunes blessures graves n’étaient apparues. Cependant, No' se précipita vers lui pour l’aider. Le brunet s’agenouilla à la hauteur du petit gosse avant de lui demander où il avait mal. Celui-ci désigna le genou droit, tout en continuant de pleurer à chaudes larmes. Attristé par cette scène, le jeune homme se retourna une dernière fois derrière lui, la demoiselle n’était plus là. Un long soupire de de regret se fit entendre, elle était partie. Bon ce n’était pas tout mais le gamin commençait à saigner de la jambe et toujours aucun signe de parent, inquiet de voir leur fils pleurer. C’est alors qu’il prit les devants et l’emmena jusqu’au banc pour faire un stopper son saignement. Le jeune Jones rassura le petit garçon disant que ce n’était rien de grave, juste une petite blessure qui allait disparaître d’ici 2 semaines. Toutefois, le petit n’en fut pas moins convaincu – même si c’était la vérité – et continua ses pleures de douleur. Assez mal à l’aise par la situation, le jeune homme chercha au plus vite un mouchoir ou un bout de tissu pour la mettre sur la plaie mais ses poches étaient vides. La malchance continuait à s’acharner contre lui. Laissant le petit sur ses genoux, il regardait les gens passer devant lui, mais aucun ne daignait s’arrêter pour l’aider enfin…